samedi 23 mai 2015

Sur les traces du castor (2)

Dans le dernier post, nous nous promenions sur la Loire, à la recherche des castors.
La Loire est un fleuve franchement magnifique, dont les rives sont restées très sauvages par endroits. Sur le secteur que nous avons choisi, nous sommes à mille lieues des pauvres berges bétonnées, canalisées, colonisées par les sachets en plastique, les boites en polystyrène et les canettes de soda sucré.
Imaginez-vous un après-midi ensoleillé sur une grève de sable chaud. Vous fermez les yeux, mais vous ressentez tout de même la lumière rouge du soleil qui vous éblouit à travers vos paupières. Vous sentez aussi une fine brise sur la peau de votre visage et de vos bras. Vous êtes bien. Tellement bien que vous allez vous accorder une petite sieste. Après tout, vous vous êtes couchés bien tard pour épier les castors, la veille.
Au réveil, vous vous dites que le coin vaut bien un petit dessin. Alors, vous sortez votre petit carnet et votre crayon tandis que vos compagnons de voyage sortent leurs jumelles et leurs longues vues.
Et vous dessinez.
Ce qui donne à peu près ceci.














  Olivier

6 commentaires:

  1. l'impression
    d'une fragrance traversant l'écran ...
    d'entendre les guêpiers ...
    peut-être ...
    a
    ussi ...

    ;-)

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  2. Toujours au taquet, Jean-Luc, hein ? ;)

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  3. les bonnes adéls ne se perdent pas aisément ...
    :-)

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  4. Merci, Olivier, de savoir aussi bien nous faire partager et ressentir, par vos mots et vos dessins, des moments de bonheur au milieu de la nature ! Un rayon de soleil dans ce monde morose, c'est précieux !
    A bientôt.
    M.D.

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  5. Merci à vous, M.D.
    A l'époque où nous vivons, il me semble que la reconnexion à la nature est plus cruciale que jamais.

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    1. Vous avez tout à fait raison.
      A bientôt.
      M.D.

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